Patricia::cest dur la réalitée

J'entendis sonné. J'allai ouvrir et voyais Pat. Elle se jeta dans mes bras. Je la serré fort, en me disant que ce n'était pas de sa faute.

- Patricia ? Désolé mais là... Je dois faire mes valises...

-Tu fera pas de valise sinon je pars vraiment,jpeu encore changer mes billets.
Si tu part je pars aussii,jvoi pa pk je devrai rester alors que mon frere part..

- J'vais te le dire pourquoi. Parce que tu as le choix. Et moi, j'aurai le choix, je resterai ici. Alors reste, pour moi.

Montrant une lettre à Patricia.

Mon fils,

Ta grand-mère m'as tout raconté. Comment a-tu oser ? Hors de question que Alexandre l'apprenne, tu ne mérite pas d'être son fils. Tu ne mérite rien. Tu n'as vraiment aucun coeur. Et moi qui te faisait confiance... Tu viens de condamné tes propres cousines. Elles se faisaient une joie de venir habité à Buenos Aires. Tu viens de brisé leur rêve. Tu reviens en France dans le prochain avion. Je t'envoie de l'argent pour payé ton billet. N'essaye pas de m'échappé. Ta grand-mère Inès va te virer de l'école. Tu n'as pas ta place auprès d'Alexandre, c'est un homme bien trop gentil pour toi. Tu m'entends ! N'essaye pas de voir ta soeur, dès ton retour en France. Ni tes anciens amis. Non, tu n'as pas d'amis. Qui pourrai t'aimer. Tu nous dégoutes.

- Voila le mail que je viens de recevoir. Je crois que ma mère a raison. Je dois retourné en France. Toi, si tu m'aime, si tu aime Matias surtout, si tu aimes tes amis... Tu resteras.

-Je ne pourrai pas rester.Malgré que jaime Mathias et mes amis,tes quand meme mon frere,
on a le meme sang,Je taiime toi tu mentend,jaimerai je te laisserai partir,si tu part je part.
Mais moi sa sera dans les enfers en essayant de me--sucidé,jai tjr révé d'avoir un frere et maintenant que jen ai un je devrai le laissé tombé?
Non sa marche pas comme sa,dit a ta mere que toi tu peu rester et que tu me reverra pas car je partirai,cest plus qimple comme sa

- Arrête Pat. Tu veux me faire souffrire ? Parce que si c'est ton but, tu y arrives bien. Va t'en de chez moi. J'veux pas te voir. J'ai fermé les yeux sur tout. Tu as dévoilé mon secret, je t'ai pardonné. Tu m'as traité de tout les noms dans la classe. Je t'ai pardonné. Tu as voulu partir en avion. Je t'ai pardonné. Mais là, c'en ai trop. Va t'en. Retourne chez toi, va chez Matias, Joséphine, François... Là, je dois faire mes valises !

J'entendais à nouveau quelqu'un frappé. Essayant d'essuyé mes yeux gonflé, rouges et mouillés, j'ouvris.

- Lyna, Miley !

-Salut Guillaume !

Remarquant les yeux rouges de Guillaume

- coucou Guillaume, faut que je te demande un truk

Poussant ma valise derrière la porte.

- Entrez. Tu vas mieux Lyna ? Tu veux me demander quelques chose ?

- Oui je vais mieu merci. Oui,j'aimerais savoir ta mère travaille ou et dans quoi ? Et est-ce que tu veux vraiment resté ici ?

-Pourquoi tu lui demandes s'il veut vraiment rester ici, Lyna ?

- parce que si ça mére travaille ou je pense, j'ai trouver le moyen pour qu'il reste

- Oui. Oui je veux rester ici. Ma mère dirige de grandes entreprises à Chicago. Pourquoi ?

-Parce qu'il doit partir ?

Perdue (normal, je sais pas tout)

Ok, Alors voila, j'appel mon père pour lui dire que si ta mère te fais revenir en France, elle perd son plus gros contrat que mon père doit signé, s'il ne le signe pas, l'entrepris de ta mère va perdre de sa valeur.

- Sa sera pire. Non ne fais pas sa. Je ne veut pas causé du soucis à ma mère. Ne t'en fais pas, je suis habitué. Avant de venir à Buenos Aires, j'étais en France. Sa ce passera très bien. Et puis...

Regardant le sol.

-Et puis ?

- mais si ta mère cheri tant son boulo, elle aimera pas perdre son contrat, de toute façon je le laisserai pas signé avec cette entreprise, il a beau signé les contrat et tout, l'entreprise n'est pas au nom de mon père a la base

- L'histoire du contrat, c'est pas une solution.

Sourit.

-Mais, pourquoi ta mère veut te faire aller en France ??

- c'est pas une bonne idée mais je veux pas que mon entreprise signe avec l'entreprise de ta mère.

- Parce que... J'ai confié un lourd secret à Patricia. Un secret que je ne devait répété à personne. Quelques chose que personne ne devait savoir. Cela faisait 4ans que j'avais caché à tout le monde... Mais... Elle est arrivé, et a tout répété à tout le monde.

Serrant ses béquilles.