" Parce que la maladie est tout ce qui nous détruit "

-Le truc le plus chiant,cest que lui et moi on été a moitier reconcillier,
il m' a dit qu"'il voulait mon bonnheur,qu'il serai tjr la pour moi,qu'il n'a jamais voulus me blaisser..
Et on a parler d'un sujet,et on esst pas tombé d'accord..et sa fat une dispute,une dispute de trop,
sa me fait souffrir,j'ai des efforts a faire si jveu qu'il sois pres de moi..

- Tu y arriveras. Je t'aiderai. Mais meme si vous n'êtes pas d'accord, reste zen...

-T'as raison..zen..
Heureusement que t'es la sinonje tiendrai pas..

- Bon, je vais frappé a la porte de la chambre de Guillaume. Toi, tu lui présenteras tes excuses. Surtout, ne pleurs pas, à aucun moments. Tu ne t'enerve pas, si il dit un truc qui ne te plait pas, dis lui calmement Sourit

-T'as raison sourit aller vient on va le voir..

- Tu es prête ?
Je frappe à la porte de la chambre...

-Oui du moment que tu restes
On venait d efrapper et on attendais une reponse a la porte

J'étais allongé sur mon lit quand j'entendis des coups à la porte ...
- Si c'est la mort, où le diable ou autre personne susceptible de m'ammené en enfer, vous pouvez entrez...

J'étais allongé sur mon lit quand j'entendis des coups à la porte ...
- Si c'est la mort, où le diable ou autre personne susceptible de m'ammené en enfer, vous pouvez entrez...

Je rentra dans la chambre de guillaume..
Je donnais la main a Lucas super forte..
J'étais stresser..
-Jsuis désoler Guillaume..

Je lacha la main de Lucas et lui fit un smack.
J'alla m'assoeir a coté de mon..euh non Guillaume..
-J'ai été pire que cruelle,je suis désolé,j'ai pensé a moi,une nouvelle fois..

Je la regarde

- Tu comprends pas. J'en veux pas de tes escuses ! Tu t'excuses et puis tu recommence 2 secondes après. Alors tes excuses tes servent à rien !

Evitant de m'enervé,gardant mon calme
-Si tu ne veu pas de mes escuses c'est pas grave,mais au moin jte les ai faite..
Commença a partir d ela chambre..

Je voyais Patricia partir.

- Mais nan, pars pas...

Mon frère venait de dire une chose..il me repoussait pas..
Je me retourna,alla au lit de mon frère et le prsi dans mes bras et lui chuchota..
-Jtaiime tellemnt

Lui remontant une mêche de cheveu
- Sa, tu ne me l'a pas encore prouver...

-Alors j'essayrai de te le prouver..
Mettant ma tete sur son épaule

- C'est vraiment touchant.
Sourit
- C'est la premiere fois qu'on ne se dispute pas depuis des semaines !

-T'as raison c'est rare que l'on se dispute pas..
Sourire
-J'spere que sa passera de rarement a plus que souvent..
-Jveu pas te perdre un nouvelle fois a cose de mes conneries..
Jouant avec les doight de Guillaume

- Je ferai aussi des efforts et...
On sonna à la porte je me mis a tremblé de peur...
- Elle est là...

Je regarde Lucas, puis Patricia.
- Vite ! Allez dans la chambre de Nayru, et enfermez vous dedans !

Je tremblais encore plus .

Je descend les escaliers, puis entends SA voix.

?? : Mais dépêche toi, il y a du vent dehors !

Je tremble tout en ouvrant la porte.

- Bonjour Maman...

Mon visage devint pâle en voyant sa cheveulure blonde et bouclé, puis elle me refile une valise.

Ma mère : Je suis venu ici pour les affaires, prends ma valise ! Incappable, il faut bien que tu serves à quelques chose. Je ne resterai que quelques jours. Bien sûr, je ne vais pas venir loger chez toi. Je ne voudrais pas ruiné ma réputation, si des journalistes apprenne qu'un sale gosse comme toi est mon fils. Je vivrai à l'hôtel.

Sa faisait bien longtemps que je n'avais pas entendu de tels paroles, mais pas de doute. Ma mère n'avait pas changer.

Ma mère : Et Nayru ! Me giflant Je sais ce qui c'est passé. Le medecin qui est venu la voir chez toi. Et ce même medecin a appellé sa mère, ma propre soeur. Tu ne sais même pas gardé correctement une gosse. Tu ne sers à rien, va te pendre mon pauvre ! Ah mais peut-être que même Satan ne voudrai pas de toi !

Ces mots me traversaient comme une lame en plein coeur. J'étais de plus en plus tremblant. Ma mère avait toujours su me dominé mentalement, et me faire peur. Je restait là, muet, tremblant et blanc, sans bouger.

Elle dépose sa valise sur la table.

Ma mère : Je veux voir Nayru.
- Depuis quand tu te soucis de son sort ?

Elle me giffle une seconde fois.

Ma mère : Qui t'a permis de parler ? Insolent !

* Il faut surtout pas que quelqu'un sonne à la porte, et il ne faut pas que ma mère voit Pat. *